
voici une de mes consoles préféré car ca a etait la dernier console fabriqué made in sega avec des jeu comme Bomberman Online,Capcom vs. SNK: Millennium Fight 2000,Guilty Gear X,Heavy Metal: Geomatrix,King of Fighters '99 Evolution, Marvel vs. Capcom: Clash of Super Heroes,Shenmue 1 et 2
Les kits de développement Dreamcast sont livrés aux développeurs dès fin 1996.
La Dreamcast sort le 27 novembre 1998 au Japon au prix de 29.800 yens, le 9 septembre 1999 aux États-Unis et au Canada et le 14 octobre 1999 en Europe. Son prix de lancement en France est de 1790 francs soit environ 270 €.
L'objectif de Sega à l'époque était de proposer le premier système 128 bits de nouvelle génération afin de succéder à la Saturn tout en arrivant en magasin avant la PlayStation 2 de Sony (qui sortira le 4 mars 2000 au Japon). La Dreamcast innovait avec les gachettes analogiques, un lecteur de GD-Rom six fois plus rapide que le lecteur CD-ROM de la PlayStation 1, ainsi qu'une unité secondaire appelée VMU (Visual Memory Unit) logeable dans la manette et qui servait à la fois de carte mémoire et de mini console de jeux grâce à son écran LCD.
La fin [modifier]
Dotée d'une ludothèque relativement peu fournie mais de qualité, elle n'a pas rencontré le succès escompté.
L'atout majeur de la Dreamcast selon Sega résidait dans le fait de pouvoir proposer des jeux jouables en ligne. Cet argument a été utilisé par Sega dans sa campagne marketing de lancement pour damer le pion à la PlayStation 2, sa principale rivale, qui devait sortir presque 1 an plus tard.
Cette stratégie n'a pas fonctionné car trop peu de jeux implémentaient le jeu en ligne. De plus, le public attendait la sortie de la PS2 en mars/octobre 2000, réputée plus puissante.
Le 24 juin 1999, la console passe de 29.800 yens à 19.900 yens au Japon.
Le 31 janvier 2001, Sega annonce l'arrêt de la production pour mars 2001. Quelques unités ont été produites ultérieurement, mais avec l'impossibilité de lire les CD audio, afin de contrer la copie illicite de jeux vidéo (voir plus bas).
Après l'arrêt de la fabrication, Sega décida de se retirer du marché du matériel grand public. La Dreamcast est la dernière console de jeux vidéo de Sega.
La renaissance [modifier]
Depuis les années 2000, la Dreamcast est une plate-forme dynamique de la programmation underground et beaucoup de jeux ou programmes « faits maison » font leur apparition.
Recommercialisation en 2009 [modifier]
L'entreprise américaine ThinkGeek a annoncé avoir recommercialisé la console de façon limitée aux USA. Au vu de l'engouement de la communauté de joueurs face à ce support -et surtout des excellents jeux estampillés- le marché de l'occasion bat à son plein. Seulement, la Dreamcast rencontre quelques lacunes en terme de longévité, notamment par sa lentille fragile et ses problèmes de surchauffe.
À noter que la console est en version NTSC-US. En conséquence, un disque de boot sera requis pour lire les jeux import. Commercialisée à 99,00 $, l'offre limitée est momentanément vidée de son stock. Étant donné que Sega ne fournit plus de support pour cette console, la garantie n'est que de 30 jours via le site du revendeur.
Des développeurs indépendants ont créé des émulateurs et lecteurs de médias (MPEG, DivX, MP3, JPEG).
Les raisons de cette reconversion particulière de la Dreamcast sont les suivantes :
- C'est une console où il est relativement facile de développer des applications (elle est en partie compatible avec Windows CE, et une plate-forme de développement : KallistiOS a été créée par Dan Potter). Ceci est un choix technique de Sega, suite à l'échec de la Saturn qui était parait-il une console complexe à programmer pour les éditeurs de jeux.
- C'est une console où la copie de jeux vidéo est aisée. En effet, pour empêcher la copie de jeux, Sega a fait développer un nouveau support pour les jeux : le GD-ROM (voir plus haut ; une de ses principales caractéristiques est la gravure des données dans une densité élevé et une deuxième TOC commençant après la section de type CD du GD-rom). Sega se croyait à l'abri des copies avec ce format propriétaire, mais c'était sans compter sur la « sagacité » des pirates informatiques qui ont réussi à copier et créer des images ISO des jeux et à les graver sur un CD traditionnel (la Dreamcast lit aussi les CD).
- La naissance d'une communauté d'amoureux et de passionnés qui ne voulaient pas voir la Dreamcast mourir comme la Saturn
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